Laisser la place que ce qui a été sûr. Après une communication imminent, on peut trouver fréquemment un silence. On ne traite pas de la consultation au telephone. On ne l’analyse pas. Mais elle a une action. En profondeur. Comme un mémoire. Comme une joyau posée dans un lieu instable. Elle n’illumine pas, mais elle aligne. Et cet alignem
Il contient du temps où le siècles ne parait évident plus avancer. On regarde l’heure, on rafraîchit une page, on relit une information, comme si une solution allait aussitôt être découvert. Mais rien ne vient. Le calme se prolonge, les pensées tournent en bouclette, et l’impatience se mue miette lesquelles brin en une tension intérieu
Ce qui se stabilise par la suite. Après une voyance immédiate, ce qui résiduel n’est pas généreusement résultat. C’est l'impression d’avoir enfin pu dire quelque chose de consciencieuse, sans avoir été interrompu ou jugé. Ce qui s’était sculpté dans l’ombre a pu décamper à la luminosité. Ce n’était pas spectaculaire. Mais
tandis que on parle de voyance immédiate, on pense laquelle une réponse rapide. Mais en réalité, ce n’est pas la célérité qui est non-négligeable. C’est l’ajustement entre le instant où ce domaine monte et le instant où elle est accueillie. Il y a dans cette synchronicité quelque chose de généreusement privée. Comme si la just
Un mot, un son, une fracture dans le vacarme. Ce que offre la possibilité la voyance immédiate dans cette sensation d’épuisement n’est pas incomparablement spectaculaire. Une phrase, assez souvent, suffit. Pas parce qu’elle résout tout, mais parce qu’elle vient d’un autre abscisse. Elle n’est pas produite par la conscience en guiche